" Lorsqu'il s'agit de la mort, les gens n'ont aucune imagination." ♦ MASEN

⊱ **postes** : 5 ⊱ **ici depuis le** : 31/05/2012 ⊱ **crédits** : MINKA

Villcomte, Masen Andrea

" L'amour c'est l'infini mis à la portée des caniches."

NOM(S) ∞ villcomte PRÉNOMS ∞ masen andrea SURNOMS ∞ maze DATE ET LIEU DE NAISSANCE ∞ écrire ici ÂGE ∞ vingt-et-un ans NATIONALITÉ ∞ irlandais MÉTIER/ETUDES ∞ études en sciences politiques et sociologie SITUATION FINANCIÈRE ∞ moyennement correcte STATUT CIVIL ∞ célibataire GROUPE ∞ écrire ici AVATAR ∞ iwan rheon EST-IL UN SCÉNARIO ? ∞ que nenni CRÉDITS ∞ MINKA / Tumblr / BRITISH TOUCH

cultivé, froid aux abords, délicat, tacite, attentif, fuyant, serviable, enfantin, simple, perfectionniste, tendre, versatile.

mange toujours les céréales une à une, il en va de même pour les biscuits, morceaux par morceaux ★ possède de multiples expressions faciales dont la plus courant se résume à écarquiller les yeux par peur, timidité ou étonnement ★ ne supporte pas les gens qui fument ★ est facile à amadouer à coup de biscuits secs ★ n'a qu'une lointaine vision de l'amour un peu désuet et n'y prête par conséquent, pas la moindre importance ★ ne peut s'empêcher de corriger lorsqu'il entend une erreur ou bien une faute grammaticale ★ parle peu mais use abondamment des sourires timides qui signifient clairement "t'es drôle mais j'ose pas rire" ★ raffole littéralement de l'observation placide des autres dans leur vie de tous les jours ★ passe souvent pour un type invisible tant son tempérament est sans véhémence ★ n'a jamais crié ou hurlé depuis qu'il a quitté l'enfance ★ n'exprime jamais ce qu'il ressent

~ never let me go.

« Non ! Masen ! Reviens-là ! » Véritable jeu de passe-passe, cache-cache à rebours je lui filais toujours entre les doigts du mieux que je pouvais. Je la détestais même si mon cerveau n’avait pas encore assimilé correctement cette donnée. Son odeur me donnait la nausée. Elle n’avait pas une once d’intelligence au fond des yeux, simplement des reproches, sans cesse. Des mots blessants à dire, des grognements et des soupirs à retenir. Je voulais la voir tomber dans un puits sans fond et lui jeter des cailloux. Je voulais lui mettre des orties dans la bouche et de la boue sur son linge propre. Je voulais être un enfant infecte, imbuvable, caractériel et tyrannique mais j’étais qu’un tire-au-flan, un chaton qui se prenait pour un lion qui n’avait pour défense que la fuite. « Villcomte si tu ne m’obéis pas tu sais à qui je vais le dire. » Sale folle. Vache à lait. Je n’avais pas conscience au combien c’était irritant de s’entendre appeler par son nom de famille comme un vulgaire cocker mais je n’avais nul besoin d’une raison supplémentaire pour me soustraire à son autorité. Je l’étendais s’essouffler alors que je cavalais dans le couloir, tout droit en direction de la sortie de ce monde de fou. Son pas lourd faisait tressauter tous les bibelots de ma mère. Je ne comprenais pas bien pourquoi elle m’empêchait de jouer avec ses machins hideux, mais ça n’avait pas grande important tant qu’elle me laissait me glisser derrière le canapé. « Tu seras privé de dessert ! » Miséricorde. Plus de desserts immondes. Un sourire étira mes lèvres mais il ne dura qu’un temps car je n’eus pas le temps d’atteindre le salon que déjà la main de cette femme au parfum âcre, mélange de tabac froid, de cigarette et de cuisine campagnarde, s’abattit sur moi comme une massue, saisissant le col de mon t-shirt. Un glapissement étranglé m’échappa. Espèce d’ogre croisé sorcière. Femme à chat. Peau de vache. « On a pas idée de faire courir sa vieille nourrice. Tu vas prendre ton bain sans négocier. » Elle partie d’un rire gras, rire qui avait la fâcheuse habitude de me glacer le sang. Je la voyais dans mes rêves la nuit dévorer des enfants et des animaux, voire même des voitures entières, et puis son infâme tablier. Elle était le mange-chaussette, le dahu et parfois même le monstre du Lockness lorsqu’elle échouait sur le canapé, semblable à un phoque ayant abusé d’une bande de poissons pas futés.
Sans doute avait-elle rit car elle savait pertinemment que je n’allais rien négocier puisque je me refusais à prononcer ne serait-ce qu’un bruit en sa présence. Je me contentais souvent de froncer les sourcils ou d’ouvrir de grands yeux. Elle comprenait. Masen, sept ans, et déjà convaincu qu’on pouvait éduquer les adultes comme on apprend à un chien savant ramener la balle. Irêne, femme qui ne ressemblait plus vraiment à une femme, me gardait tous les jours où ma mère jugeait bon d’aller se faire faire des soins multiples, papouilles pleines d’huile et de fric. Je détestais aussi un peu ma mère pour ça mais elle sentait bon alors je lui pardonnais son manque de tact pour choisir une nourrice, une vraie et non pas une poissonnière déguisée en nourrice.

« Un chien. » « Quoi ? » Elle tendit sa main devant elle pour juger de la qualité de sa manucure, ce léger pli apparaissant sur son front, signe fatidique que quelque chose clochait puis elle posait son regard sur moi, mi-abattu, mi-désespérée. « Quoi Masen ? A ton âge tu devrais au moins savoir t’exprimer comme un garçon normal ! Qu’est ce que j’ai fait à Dieu pour avoir un fils pareil. » Tu n’as pas hurlé assez fort son nom. J’haussais doucement les épaules, comme si je ne comprenais pas ce qu’elle me voulait, elle avec ses rides, elle avec son parfum acidulé, elle avec son vernis. Je me plaisais dans l’idée qu’elle puisse me croire sot, car si à douze ans je jouais l’animal rétif et peureux qui ne prononçait plus de six mots par jour, j’avais parfaitement compris que tant qu’elle me jugerait ainsi, elle me garderait déscolarisé, à la maison avec un enseignant régulier. Dans mes moments de maturité, je brassais quelque remord à l’idée de manipuler celle qui m’a loué son ventre pour une poignée mois. « Un chien. » Je la fixai entre les deux yeux, car j’avais pu remarquer que cela avait la fâcheuse tendance à faire loucher voire rendre nerveux les gens. Incertains du point de toute notre attention, ils se raclent la gorge, passent une main dans leurs cheveux et sont des tableaux classificateurs de tous les gestes parasites que recensent le genre humain. Mais avec elle, ça ne marche jamais. Elle n’est pas de ces femmes qui se parent du regard des autres. Elle, la simple conscience d’être observée la plonge dans un état de plaisir déraisonné et elle ne se sent nullement redevante ne serait-ce que d’un coup d’œil. UC

informations sur le joueur:

Mon dieu, Iwan Rheon quoi " Lorsqu'il s'agit de la mort, les gens n'ont aucune imagination." ♦ MASEN 3897234626

je l'aimais tellement dans Misfits haha. Très bon choix d'avatar donc, et bienvenue par ici :)

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OMFG un combo ! quelqu'un qui connait misfits ET Iwan " Lorsqu'il s'agit de la mort, les gens n'ont aucune imagination." ♦ MASEN 1347536052

Grassy ass !

Haha

" Lorsqu'il s'agit de la mort, les gens n'ont aucune imagination." ♦ MASEN 1112522673

Non mais ça a toujours été mon personnage préféré dans la série. En plus, je trouve que le caractère que tu donnes à Masen dans ta fiche correspond vraiment bien à Iwan! Bref, il nous faudra un lien I love you

Bienvenuuuue :)

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Voltaire, j'avais pas vu ton avatar hier soir " Lorsqu'il s'agit de la mort, les gens n'ont aucune imagination." ♦ MASEN 3183675940

C'est aussi mon personnage préféré dans Misfits même s'il n'est pas le plus drôle. Je le trouve bien travaillé. Et pour le lien, avec plaisir ! " Lorsqu'il s'agit de la mort, les gens n'ont aucune imagination." ♦ MASEN 1282763617

" Lorsqu'il s'agit de la mort, les gens n'ont aucune imagination." ♦ MASEN 1282763617

Merci Noah-Skye :)

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche

Bienvenue parmi nous bon courage pour ta fichette =)

Bienvenue.

" Lorsqu'il s'agit de la mort, les gens n'ont aucune imagination." ♦ MASEN 388342071

P. Avery Kaplan a écrit:

Tout pareil que ma Primouche " Lorsqu'il s'agit de la mort, les gens n'ont aucune imagination." ♦ MASEN 3897234626

Franchement, j'ai juste trop bien à ajouter Rolling Eyes

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Merci tout le monde " Lorsqu'il s'agit de la mort, les gens n'ont aucune imagination." ♦ MASEN 3183675940

Je m'y remets de suite car hier j'ai pas eu une seconde pour buller sur Internet.
A l'attaaaaaaque !

bienvenue

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Ah ah ah ah urgh, SOS, au secours, à l'aide ! J'ai eu des examens à repasser car soit disant les copies étaient corrompues, je rentre seulement chez moi, c'est la paniqueeee ! Ma fiche ! Vite !
Je ne sais plus où j'en suis dans mes délais ... C'est possible d'avoir encore la journée de demain ?
PARDON. Je suis un boulet doublé d'un coup de pas de chance

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