AZRAËL | until forever comes, you'll find us chasing the sun.

volkov-revenge, duncan azraël

" give me life, we're together now. "

NOM(S) ∞ Volkov-Revenge. PRÉNOMS ∞ Duncan, Azraël. SURNOMS ∞ Az, Zazou . DATE ET LIEU DE NAISSANCE ∞ 21 mars 1991, New-York, état de New-York, USA. ÂGE ∞ 21 ans. NATIONALITÉ ∞ Américaine. MÉTIER/ETUDES ∞ Etude de droit. SITUATION FINANCIÈRE ∞ Aisée. STATUT CIVIL ∞ En couple. GROUPE ∞ Paper Planes. AVATAR ∞ Colton Haynes. EST-IL UN SCÉNARIO ? ∞ Nop.i CRÉDITS ∞ tumblr.

joyeux, pessimiste, drôle, froid, tendre, manipulateur, réconfortant, égocentrique, attachant, intéressé, intelligent, mesquin.

a tendance à se regarder le nombril ★ aime les jolies filles, les voitures et la bière ★ légèrement naïf et macho, il ne sait pas vraiment ce qu'est l'amour ★ il attache une grande importance à ses proches, pour qui il serait prêt à tout ★ suit des études de droit parce que, 'ça fait bien' ★ fait semblant de détester la Géorgie parce qu'il adore râler ★ est en couple avec sa meilleure-amie ★ a don oratoire-enrôleur assez intéressant, d'ailleurs son père lui dit qu'il aurait pu être le grand manitou d'une secte ★ déteste les films à l'eau de rose ★ boit des litres de cafés par jour ★ voudrait pouvoir remonter le temps.

~ never let me go.

« Et c'est ici que l'on va habiter, sérieusement ? Grimaça Azraël Volkov-Revenge en jetant un coup d'oeil dédaigneux en direction de l'immense maison que ses parents venaient d'acheter ainsi que du jardin style Versailles qui n'aurait pas été entretenu. Et sinon, pourquoi cette soudaine envie de débarquer dans le camp ennemi ? » Ses géniteurs firent comme de si de rien n'était et s'engagèrent dans l'allée pavée – qui disparaissait sous les friches. Ils semblaient ravie d'avoir troquer leur vie de privilégiée dans l'Upper East Side contre cet espèce de truc en pleine campagne Géorgienne, ce qui n'était absolument pas le cas de leur fils unique. Azraël ne cessait de darder son regard sur toutes ces choses qu'il détestait plus que tout : le soleil tapant, de l'espace vide à perte de vue, de la verdure, des hommes de couleurs qui travaillaient dans les champs comme il en était coutume cinquante ans auparavant.
Le jeune homme ne comprenait toujours pas ce qui avait poussé ses parents à déménager. Là-bas, à New York, ils menaient une vie de rêve. Sa mère était la nutritionniste favorite des stars, son père un as de la chirurgie esthétique, il était le fils prodigue qui n'obtenait que des A et que les universités de l'Ivy League se disputait. Et voilà que, du jour au lendemain, Ariana Volkov-Revenge vendait sa collection de pièce unique Chanel, son père se séparait de l'une de ses petites cylindrées chéries et ils chargeaient l'énorme berline familiale, direction la contrée la plus ennuyeuse – aux yeux d'Azraël.
Le voyage lui avait paru durer une éternité et lorsque la voiture s'était enfin immobilisée, le jeune homme avait pu découvrir sa nouvelle prison. Une grande bâtisse de bois plutôt récente, entourée d'un grand jardin. De là où il était, il avait entraperçus une piscine intérieure et ses parents l'avaient informés que la maison était équipée de la toute dernière technologie (fenêtres qui réagissent à la voix, radiateur qui règle automatiquement la température dans la maison, et autres choses dont se fichait totalement le garçon) ainsi que d'un sauna et d'une salle de sport. Ce à quoi Azraël avait répondu : « Super. Et sinon, une maison qui ne ressemble pas à un temple Aztèque, c'était une option ? »

Petit à petit, bien qu'il détestait toujours autant l'endroit, le jeune homme s'était habitué au climat plutôt chaud de Cumberland et s'était intégré à une petite bande rencontrée à l'université. Tout était très différent de l'Upper East Side bien sur, mais il avait réussit à trouver plusieurs point positif. Les glaces lui paraissaient encore meilleurs après avoir bravé la canicule (quand on vient de New York, une canicule équivaut à vingt degré à l'ombre, des climatisations qui ne marchent pas et un soleil qui 'brûle' sa beau de porcelaine), les filles qui, subissant le thermostat chaud de la Géorgie, portait de court shorts et des hauts de maillots de bain, ce qui le ravissait, évidemment et il était indéniable que les jeunes d'ici savaient aussi faire la fête.
Il avait même commencé à ne plus trouver son nouveau chez-lui si horripilant, notamment grâce au petit jeu entrepris avec sa jolie voisine. Everleigh Kovaleski, surnommée la Reine des Glaces par les autres étudiants de Cumberland à cause du nombre de garçon qu'elle a éconduit sans pitié, malgré un caractère qualifié de 'doux', 'joyeux' et 'attentif'. Tout ses amis n'avaient cessé de lui parler d'elle en mal sans pouvoir détacher leurs yeux d'elle lorsqu'elle passait près d'eux. Les filles la jalousaient, c'était clair, car elles passaient leur temps à la critiquer, tout en essayant de la copier. Tout cela faisait rire Azraël.
D'un certain point de vue, Everleigh ressemblait beaucoup aux filles de New York qui se pavanaient comme des princesses, même si elle n'avait besoin d'aucuns artifice. C'est alors que le jeune New Yorkais s'était mis en tête de la conquérir, afin de montrer à toute la population de Cumberland qui il était.
Il avait eût beau déployer des efforts extraordinaires, imaginer des plans diaboliques, rien n'y faisait, la belle blonde semblait à peine le voir. Elle l'ignorait lorsqu'il lui sourit. Elle le rembarrait lorsqu'il lui parlait. Elle le repoussait lorsqu'il s'approchait trop près d'elle. Elle soupirait lorsqu'il lui adressait un signe de main. Elle levait les yeux au ciel lorsqu'il lui lançait une de ses fameuses phrases d'accroches. Elle tournait les talons lorsqu'il appréciait sa silhouette parfaite depuis sa fenêtre. Voilà comment Azraël avait occupé ses dix premières semaines à Cumberland, en essayant par tout les moyens inimaginables de capter l'attention de la blondinette plus de trois secondes. Malheureusement, rien n'y faisait et Everleigh semblait rester de glace, au point qu'il s'était même demandé si elle ne préférait pas les filles. Son égo, commençant à souffrir de tout ces refus, décida, pour la première fois de sa vie, d'arrêter-là la mission Kovaleski. Si cette fille voulait finir bonne soeur, que bien lui en fasse, mais il lui avait assez couru derrière comme ça et était bien décidé à passer à autres choses.

La famille Volkov-Revenge était désormais bien ancrée dans la petite ville de Géorgie. Sa mère avait ouvert son cabinet de nutritionnisme et son père était absent les trois-quart de la semaine car il travaillait dans l'immense hôpital de la ville voisine. Leur fils brillait dans ses études de droit et semblait heureux, même si il avait tendance à râler à cause des températures insoutenables pour lui, petit nordiste. Les UV semblaient avoir un merveilleux effet sur la famille, même si en réalité, il n'en était rien.
Si Azraël avait regardé tout cela d'un peu plus près, il aurait vu les nombreuses rides qui étaient apparues sur le visage de sa mère et la maigreur de ses traits, la multiplication du nombre de cheveux blancs dans la crinière noire de son père et la grandeur de ses cernes. Il aurait vu que les mains de sa mère commençait à trembler et qu'elle engloutissait plus de cachets anti-dépression que d'aliments. Il aurait vu que son père travaillait beaucoup trop et qu'il avait revendu toutes sa collection de voiture exceptée sa Ferrari à laquelle il tenait plus que tout au monde. Azraël aurait aussi sûrement vu que leurs parents avaient cessé leurs folies dépensières et que la famille ne possédait plus qu'une seule et unique carte bleue. Azraël aurait sûrement compris que ses parents avaient presque perdus tout leurs biens, que son père ne travaillait pas à l'hôpital parce qu'il n'avait plus le droit d'exercer mais dans une boîte de vente de médicaments frauduleux. Malheureusement, le jeune homme était bien trop pris par le développement de sa nouvelle vie sociale.

Il avait rencontré Niagara von Longdorf lors d'une soirée chez un ami commun. Tout de suite, les deux jeunes gens s'étaient entendus comme larrons en foire. Le même sens de l'humour, la même façon de taquiner les gens, de voir la vie, les mêmes blagues pourries, la même façon de penser, le même sens de la fête. En plus, la jeune fille lui faisait oublier Everleigh et son coeur de glace. Niagara et Azraël sont devenus inséparables, des alter-égo. Ils étaient les mêmes, et ensembles devenaient invincibles. Et puis, naturellement, une espèce d'attirance physique est venue se mêler à tout ça et ils ont finis par devenir un 'couple'. Enfin, si l'on peut dire. Ils s'embrassaient, dormaient ensemble et couchaient même parfois ensemble, mais seulement parce qu'ainsi, ils se sentaient moins seuls. Niagara était tout à fait au courant de l'attirance d'Azraël pour Everleigh et le jeune homme connaissait parfaitement le preneur en otage du coeur de son amie. Ensemble, ils étaient plus forts que tout, sauf que l'amour. Ils avaient tout pour avoir une vie parfaite et ils formaient un couple magnifique, mais le Destin en avait décidé autrement pour eux. Condamnés à aimer des personnes qui n'en avait rien à faire d'eux. Ils s'étaient réfugiés l'un dans l'autre pour trouver une sorte d'amour factice. Et cela mettait un peu de baume à leurs cœurs, mais combien de temps cela pourrait-il durer ?

Un jour qu'il sortait de chez lui, protégé derrière ses immenses lunettes de soleil et deux couches de crème solaire, il avait aperçue Everleigh, assise sur le perron de sa demeure victorienne. Au début, il avait l'intention de passer devant elle sans lui jeter un regard, histoire de lui rendre la monnaie de sa pièce. Mais il dérapa et se retint à la dernière minute au muret qui séparait leurs deux maisons. Il entendit un petit gloussement en provenance de la maison voisine et darda un regard noir sur la jeune fille. Il s'entendait à la voir entrain de se plier de rire, mais ce n'était assurément pas le cas. Ses cheveux n'étaient pas peignés, sa peau était affreusement pâle – de la même couleur que la neige et ses yeux bleus reflétaient la dévastation de son coeur, bien qu'Azraël ignorait ce qui en était la cause. De là où il était, il voyait parfaitement que de grosses larmes roulaient de long de ses joues. « Pleure pas pour moi. On était pas fait pour être ensemble, c'est tout, plaisanta-t-il, espérant lui tirer un petit sourire. » « Si seulement ce pouvait être à cause de toi … Je ne serais certainement pas dans cet état-là. » Il passa le portillon et vint se planter en face d'elle, tout idée d'abandonner le fait de la conquérir envolée. « Ouille, fit-il en portant une main à son coeur, mimant d'être blessé par ses paroles. Laisse-moi deviner, tu t'es rendue compte que tout le monde t'appelait la Reine des Glaces dans ton dos ? Il savait qu'il était méchant, mais c'était son coeur blessé par les nombreux refus d'Everleigh qui s'exprimait. » A ce moment précis, un bruit de verre cassé suivit d'éclats de voix se firent entendre depuis la maison de la jeune fille. Azraël tourna successivement son visage vers la demeure, puis vers Everleigh. De nouvelles larmes avaient fait leur apparition. D'un geste tendre, il les essuya avec son pouce et lui sourit. « Ca me plaît bien d'être la Reine des Glaces, au moins, je ne suis pas une de ces filles qui se pâment devant le premier bellâtre venu qui débite de belles paroles entendues dans un film B. » « C'est pas pour ça que tu dois repousser toutes les personnes de la gente masculine qui s'approche à moins de quinze centimètres de toi. » « Sujet épineux. Laisse tomber, d'accord ? » Un blanc s'installa, jusqu'à ce qu'elle reprenne tout bas : « De toutes façons, tu ne pourrais pas comprendre. » « J'ai plusieurs théories, si elles t'intéressent. Un, tu es attirée par les filles. Je n'ai aucuns problèmes avec ça, d'ailleurs, si un jour tu veux m'inviter, n'hésites pas … Bref, je m'égare. Deux, tu es une alien venue de Mars qui n'as pas de coeur. Trois, tu t'es fait briser le coeur par un idiot au lycée et depuis, tu ne protèges amoureusement. Quatre, tu as peur d'être en couple parce que tu vois tes parents se disputer chaque jours. » Everleigh ouvrit la bouche pour parler, avant de la refermer. « Je ne suis pas si bête que j'en ai l'air, hein ? »
Leur petit jeu avait repris, comme avant, mais avec des connotations différentes. Certes Everleigh continuait de le repousser, mais plus en douceur, avec plus de tendresse et moins de froideur. Les approches d'Azraël aussi avait changé. Il se montrait moins macho et séducteur et ses intentions semblaient moins malhonnêtes. Ils sont également devenus plus tactiles. D'ailleurs, Everleigh avait bien remarqué que lorsqu'elle repoussait Azraël en mettant sa main sur son torse, il souriait comme un idiot ou encore que lorsqu'il riait, il avait tendance à se rapprocher un peu plus d'elle, ce qui ne semblait plus la déranger autant qu'avant. Azraël n'était pas en reste. En effet, il l'avait aperçu rougir à plusieurs reprises lorsqu'il l'avait effleuré 'sans faire exprès' ainsi que lorsqu'il la draguait ouvertement. Reste à voir où tout cela pourra bien les mener.

informations sur le joueur:

Quel bombe ce mec AZRAËL | until forever comes, you'll find us chasing the sun. 388342071

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Bienvenue parmi nous I love you

C. Ambre Sullivan a écrit:: Quel bombe ce mec
Bienvenue parmi nous

Je n'aurais pas dit mieux !
Si tu as la moindre question ou quoi, je réponds présente

ZAZOUUUUUUU[...]UUUUUUU D'AMOUUUUR
tu sais que je t'aime toi ** ?
Bienvenue quand même (a), n'hésite pas si tu as des questions tu nous connais maintenant Tu me gardes un lien qui tue à moooooooooort

Merci à vous .
Et Kelsey, pas de soucis, avec grand plaisir

J'adore toujours ta fiche et t'as mis zazou dans les surnoms j'adore
Je te valide avec grand plaisirs ma belle, n'oublie pas de poster les différentes demandes

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